notre quotidien
Comme elle était sorcière, la bérengère vivait dans la rue la plus glauque de la forêt urbaine pictavienne, juste au-dessus de l'échoppe d'un apothicaire nommé C/C. Bref.
Dans ses jours de grande bonté, la sorcière n'était pas trop relou, mais ces-jours là étaient rares et le reste du temps, elle venait traumatiser la fée mouny (occupée à chasser le sac à main) et la princesse Marimanue (quotidiennement assise sur un trottoir pour insulter les passants).
Quand elles se retrouvent ainsi toutes les 3, les amies porchiasses décident d'explorer leur territoire et se rendent dans leurs lieux de prédilection de balisage. Là, elles traquent le café (allongé) et lancent un guet-apens sur la grange à pain.
Leur statut de + belles de la forêt les oblige à se rendre en cours pour éblouir leur promo de leur sublime présence avant de s'enfuir dans un nuage du si suave parfum BièreCaféClope (by Cluricaume).
Les amies s'installent ensuite à une terrasse mais princesse Marimanue abandonne lachement ses copines (princesse marimanue dit :! "à + vieilles connes") pour aller terroriser le bel Olivier en faisant des créneaux.
Pendant ce temps, la fée Mouny et sorcière Bérengère tentent de contacter à l'aide d'un boîtier communicatif le prince Olivier-Amine et GhiGhisKan afin de les harceler (les puducs ne décrochant même plus leur téléphone). Après de nombreuses tentatives infructueuses, le prince Olivier-Amine, GhiGhiskan et 1 ou 2 puducs (les + faibles) craquent et ramènent leur cul (puduc dit : "j'avvole!")
Elles font alors subir leur humour ravageur en se racontant les derniers potins et en insultant les créatures les + moches de la forêt. la queue entre les jambes (oui, les puducs ont une queue, euh... on suppose toujours), le puduc s'enfuit, assourdi par des piaillements féminins étrangers à ses oreilles.
Enfin, le Puduc tente de s'enfuir car les 3 + belles s'acharnent dans une séquestration collective du genre "Allez, restez dormir, steupléééé!". après des heures de négociation, convaincant certaines proies faciles par leur yeux magnifiques, le couperet tombe... Puducs disent "on veut pas... nienienienienienien... dormir dans notre lit... nienienienienien... on vous amènera le café..."
Morale de cette histoire : les puducs ont-ils finalement une queue? Les 3 + belles n'auraient-elles plus de charme passé 5h du mat'? Le café se serait-il perdu en cours de route ou bien les Puducs ne sont-ils que des creuvards?